{"id":23,"date":"2017-09-03T13:26:14","date_gmt":"2017-09-03T11:26:14","guid":{"rendered":"http:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/?p=23"},"modified":"2017-12-20T14:22:54","modified_gmt":"2017-12-20T13:22:54","slug":"sante-et-enfant-tout-savoir-sur-lolfactotherapie","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/2017\/09\/03\/sante-et-enfant-tout-savoir-sur-lolfactotherapie\/","title":{"rendered":"Sant\u00e9 et enfant, tout savoir sur l’olfactoth\u00e9rapie"},"content":{"rendered":"

Les approches parentales changent en fonction de l’avanc\u00e9e de la soci\u00e9t\u00e9. Il y a \u00e0 peine 10 ans, on ne parlait pas de l’ofactoth\u00e9rapie. Aujourd’hui, aussi bien dans les livres que dans les cours de pr\u00e9paration \u00e0 l’accouchement, c’est le sujet phare. Mais qu’est-ce que c’est ? Et en quoi cela consiste r\u00e9ellement ? Voici l’essentiel \u00e0 savoir sur le sujet.
\n<\/p>\n

Les soins par les odeurs<\/h2>\n

\"\"Comme son nom l’indique, l’olfactoth\u00e9rapie est une m\u00e9thode de soin par les odeurs. Il consiste \u00e0 diffuser un parfum doux et agr\u00e9able dans la pi\u00e8ce ou autour du patient afin de le d\u00e9tendre et lui permettre de s’\u00e9vader. Largement pris\u00e9 dans les pr\u00e9parations d’accouchement sans douleur, il commence \u00e0 faire le buzz actuellement.<\/p>\n

L’olfactoth\u00e9rapie pour calmer les douleurs<\/h2>\n

Simple et pratique, c’est une approche naturelle qui vise \u00e0 calmer les douleurs des patientes qui se pr\u00e9parent \u00e0 une mise au monde, sans anesth\u00e9sie. N\u00e9anmoins, il est n\u00e9cessaire d’avoir une certaine ouverture d’esprit et un grand sens de l’imagination pour pouvoir en faire usage. Le parfum en lui-m\u00eame n’est rien sans une initiative de la patiente \u00e0 s’\u00e9vader et \u00e0 oublier les sympt\u00f4mes de l’accouchement.
\nLe choix du parfum est d’une importance capitale. Il faut choisir une senteur apaisante et neutre. Les th\u00e9rapeutes peuvent vous conseiller en la mati\u00e8re. En r\u00e8gle g\u00e9n\u00e9rale, cette technique est combin\u00e9e avec la phytoth\u00e9rapie. Les plantes naturelles produites une essence \u00e0 m\u00eame de r\u00e9duire le stress et l’anxi\u00e9t\u00e9.<\/p>\n

L’olfactoth\u00e9rapie pour calmer b\u00e9b\u00e9<\/h2>\n

\"\"L’olfactoth\u00e9rapie n’est pas seulement utile pendant la mise au monde. Il aide les parents au quotidien afin de calmer b\u00e9b\u00e9. Selon quelques recherches, plonger votre enfant dans un environnement de senteur doux et rassurant facilite son d\u00e9veloppement et est \u00e0 m\u00eame de stopper ses pleurs.
\nN\u00e9anmoins, vous devez faire attention, les huiles essentielles sur une trop importante exposition peuvent entrainer des maladies de toutes sortes. Il ne faut donc pas diffuser le parfum en continu dans la maison.
\nEn outre, au risque de l’\u00e9nerver encore une fois, vous devez choisir une senteur qui lui sera agr\u00e9able.<\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"

Les approches parentales changent en fonction de l’avanc\u00e9e de la soci\u00e9t\u00e9. Il y a \u00e0 peine 10 ans, on ne parlait pas de l’ofactoth\u00e9rapie. Aujourd’hui, aussi bien dans les livres que dans les cours de pr\u00e9paration \u00e0 l’accouchement, c’est le … Readmore<\/a><\/p>\n","protected":false},"author":1,"featured_media":79,"comment_status":"open","ping_status":"open","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"footnotes":""},"categories":[2,3],"tags":[],"_links":{"self":[{"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/23"}],"collection":[{"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts"}],"about":[{"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/types\/post"}],"author":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/users\/1"}],"replies":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/comments?post=23"}],"version-history":[{"count":3,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/23\/revisions"}],"predecessor-version":[{"id":83,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/23\/revisions\/83"}],"wp:featuredmedia":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/media\/79"}],"wp:attachment":[{"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/media?parent=23"}],"wp:term":[{"taxonomy":"category","embeddable":true,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/categories?post=23"},{"taxonomy":"post_tag","embeddable":true,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/tags?post=23"}],"curies":[{"name":"wp","href":"https:\/\/api.w.org\/{rel}","templated":true}]}}